AvA, une bouffée d'oxygène Les News du fenua durable

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        actualités, revues de presse

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Santé et bien-être

  • «Quid de la Santé Durable » en Polynésie ?

    « la Santé Durable est un état complet de bien-être physique, mental et social atteint et maintenu tout au long de la vie grâce à des conditions de vie saines, enrichissantes et épanouissantes et à l’accès à des ressources appropriées, de qualité, utilisées de façon responsable et efficiente » : Une enquête montre que les Polynésiens ont hérité d’un terrain génétique qui les rend plus vulnérables à l’obésité ; Journée mondiale de la Santé pour inciter la population à être actrice de sa propre santé ; Retour sur la Journée mondiale de l'obésité, en mars : avec plus de 70% des adultes en surpoids, la Polynésie française détient un record inquiétant: l'un des taux d’obésité parmi les plus élevés au monde… ; TAVITAT et SATAAP : deux programmes phares pour asseoir notre souveraineté alimentaire et la meilleure santé de notre population ;Spectacle "Fenua manger sainement", avec la compagnie Zoltar Prodpour sensibiliser la jeunesse.

  • Nucléaire: mission État-Pays à Moruroa, en présence d’élus et de représentants d'associations

    Entre 1966 et 1996, la France a procédé à 193 essais nucléaires à Mururoa et Fangataufa (Tuamotu). Le suivi et le contrôle de la surveillance radiologique et géomécanique de ces deux atolls, mais aussi les conséquences sanitaires radio-induites, sont à l'origine d'interrogations qui prennent aussi un tour politique et socio-économique. Samedi 9 mars, une délégation composée d'élus, de membres du gouvernement polynésien, de représentants d'associations et d'anciens travailleurs,a pu visiter l'ancien site d’expérimentation nucléairede Moruroa à l'occasion de la dernière mission annuelle "Turbo" du Commissariat à l’Energie Atomique (CEA) visant à en surveiller l'évolution. 

  • Climatisation et énergie: paradoxes et solutions

    Certains établissements scolaires ne sont pas équipés de la climatisation, ce qui entraîne un inconfort thermique dans leurs classes ; Oui, mais… Climatisation = consommation d’électricité en nette hausse. Les Polynésiens, comme nombre d’habitants de la planète, vont devoir changer leurs habitudes pour « consommer mieux l’énergie ». Et l'hydroélectricité doit rester le pilier des énergies renouvelables sur Tahiti : deux gros projets sont dans les cartons du fournisseur d'électricité… Avec un objectif: atteindre les 75% d'ENR.

  • Alimentation: souveraineté et hygiène alimentaires

    Le principe de la souveraineté alimentaire est « dans les tuyaux » de la gouvernance du Fenua. Ce challenge n’est pas sans causer des problématiques parfois paradoxales : ainsi, la surproduction de carottes à Tubuai (Australes), entraînant la destruction de dizaine de tonnes de ces légumes (35 ou 60 tonnes ?, selon le média…) ; Le Conseil économique, social, environnemental et culturel (Cesec) s’interroge aussi sur le projet de loi du Pays relatif aux financements publics, aux accès et à l'aménagement des terres agricoles privées ; Importance, par ailleurs, de la formation sur la conduite de l'inspection sanitaire des établissements alimentaires et des denrées sous l’égide du Centre de santé environnementale (CSE).

  • Protection environnementale et animale

    Des interventions d’urgence sont parfois nécessaires pour la protection des mammifères marins, notamment lors d’échouages. Le point de la situation avec l’association Mata Tohora. La gestion des populations d’animaux domestiques, leur maltraitance, la sécurité… font l’objet du premier comité de réflexion pour le bien-être animal.

  • Petite revue de presse : biodiversité, énergie, climat, santé

    Préservation de la biodiversité : Reportage sur le travail de protection des tortues marines à Tetiaroa, par les bénévoles de l'association Te mana o te moana /  Découverte de  cadavres de requins dans la marina de Manihi : réchauffement climatique ou action de pêcheurs peu scrupuleux ? ; Énergie renouvelable : nouveau record de production hydroélectrique ; Plan Climat PF 2022-2030 : Lancement du jeu-concours “Évalue & Gagne” pour connaître son empreinte carbone ;  Santé & environnement : l'institut Louis Malardé (ILM) à la pointe de la recherche dans la lutte contre les maladies environnementales.

  • Surveillance et préservation de l’environnement et de la santé

    Incivisme des riverains, manque de poubelles... L'association Mama Natura a ramassé plus de 22 tonnes de déchets l'an dernier... ; L'après Covid, la crise économique avec la guerre en Ukraine et l'inflation... en sont-ils la cause ?En 2023, une baisse de 8% des déchets collectés s’est fait ressentir comparée aux années précédentes ;  En pleine saison des pluies, la population locale est invitée à redoubler de vigilance face à la leptospirose, cette maladie infectieuse pouvant entraîner de graves complication ;  Curer les cours d’eau pour prévenir le risque d’inondation, une "fausse bonne idée" ? Écologues et hydrologues doivent en tout cas être impliqués dans tout projet d’aménagement.

  • Deux pièces du puzzle écologique du fenua

    Les enjeux écologiques peuvent être variés et certains sujets peuvent n'avoir apparemment aucun rapport les uns avec les autres. Une vision transversale permet néanmoins de prendre en compte leur diversité dans une perspective de développement durable.Ainsi, le stockage de gaz importé nécessite des infrastructures spécifiques à Tahiti. Plusieurs grands chantiers sont en cours. Quid de leur impact environnemental ? Par ailleurs, dans la vie quotidienne, dépendants que nous sommes aujourd'hui de cette énergie utile à bien des activités domestiques, de nombreux de nos compagnons animaux (chiens et chats) sont laissés à eux-mêmes.  Une situation préoccupante présentant des répercussions potentiellement préjudiciables à l’ordre public, à l’image de notre destination, à la préservation de la richesse de notre biodiversité et surtout au bien-être des animaux. 

  • Conséquences des essais nuclaires: préjudices et risques ?

    C'est un autre "feuilleton", plus ancien mais aussi aux conséquences potentiellement plus graves, qu'a évoqué la presse locale: les conséquences des essais nucléaires du CEP. Selon un jugement en date du 10 novembre du tribunal administratif de Strasbourg, les proches des victimes directes ne peuvent obtenir l’indemnisation de leurs préjudices propres pour motif... de prescription. Les experts mandatés par l’État au sein de la commission d’information auprès des anciens sites d’expérimentations nucléaires du Pacifique estiment, quant à eux, que le risque reste « extrêmement faible » tant concernant les données radiologiques que géomécaniques.

  • Recherche scientifique : lutter contre la pollution et conserver le patrimoine naturel

    La filière perlicole est maheureusement à l'origine de déchets plastiquespolluants. Margaux Crusot a présenté sa thèse de doctorat en écologie soutenue à l’Université de la Polynésie française. Ses recherches portent sur la réduction de ces déchets qui affectent la culture des huîtres perlières. Elle a élaboré un nouveau biomatériau biodégradable, capable de résister les douze mois de collectage de perle ; Dans une pépinière, à Paea, l’Institut Louis Malardé (ILM) cultive une quarantaine de variétés de plantes médicinales. L'objectif : confronter les données de la science avec nos données empiriques utilisées dans la médecine traditionnelle et conserver ce riche patrimoine naturel de la pharmacopée ancestrale

  • Séminaire sur la durabilité des systèmes alimentaires du Pacifique

    Les effets du réchauffement climatique et de l’inflation générale menacent la sécurité alimentaire et les systèmes alimentaires du Pacifique.Les questions d’alimentation sont aujourd’hui « à la croisée des chemins », puisqu’elles ont des effets sur la santé et l’environnement, mais aussi sur le malaise social en renchérissant le coût de la vie. Améliorer la qualité des produits alimentaires consommés, réduire la dépendance aux importations doivent aussi faire l'objet d'une nécessaire "transition alimentaire" pour les pays du Pacifique réunis à Tahiti pendant une semaine dans le cadre du projet PROTEGE financé par le 11eFonds européen de développement (FED) régional.

  • Agriculture bio, hydroponie et plantes médicinales

    Les plantes sont d'une importance vitale pour les humains. Comme composants fondamentaux des écosystèmes environnementaux mais aussi pour leur nutrition et leur santé : 3ème édition "Portes ouvertes des fa’a’apu bio" organisée par l'association SPG Biofetia ; L'hydroponie, une technique qui séduit de plus en plus de familles au Fenua. Un mode de production bien spécifique qui présente des avantages mais à ne pas confondre néanmoins avec le bio ; Herboristerie (ra‘au’ tahiti), nutrition et hydrolat... au salon des médecines traditionnelles, Hotu Ora, à Paea.

  • Pollutions : des dossiers à suivre

    Pollution sonore : entretien avec Linda Maeatematua, nouvelle présidente de l'association Te Ora Hau / Accusations de bruit excessif autour de l'hôtel Kon Tiki, à Papeete ; Conséquences des essais nucléaires du CEP: Grande collecte de documents pour enrichir la future bibliothèque numérique ATOMI ; Pollution par déchets v/s projet immobilier touristique : article d'opinion à propos de la plage de Temae, à Moorea ; L’association « E Naki » a lancé une pétition en ligne pour sensibiliser le gouvernement à la problématique des embouteillages, principalement sur l’île de Tahiti. Insuffisance de points de recharge pour les véhicules électriques.

  • Santé et environnement : Feti’a Ora, Hotu Ora, Te Ora Hau

    Faciliter l’adoption de comportements vertueux pour notre santé et pour l’environnement : Ouverture de Feti’a Ora, ou « l’étoile qui guide la vie », un “lieu de rencontre” à l’intérieur duquel des associations en faveur de l’environnement et de la santé feront un travail de prévention sur les enjeux et les bénéfices liés à une vie saine ; Hotu Roa : À Paea, du 28 au 31 août, semaine de conférences, débats, expositions en lien avec la médecine traditionnelle et la culture ; L’association Te Ora Hau poursuit son combat contre les nuisances sonores : le point de son vice-président, Ariitea Bernadino.

  • Bruit, cigarettes électroniques jetables : des pollutions insidieuses

    La pollution sonore est un problème qui gagne en envergure et il se peut que bon nombre de personnes n’en connaissent pas les incidences sur leur santé. Dans le domaine de la santé environnementale, le bruit (hors milieu de travail) n'a que tardivement été pris en compte, mais les législations de nombreux pays imposent peu à peu des études d'exposition au bruit et une cartographie du bruit, des restrictions d'intensité sonore. Des représentants de l’association Te Ora hau ont rencontré le président du Pays et la vice-présidente et ministre de l’Environnement pour leur demander d’agir pour mieux protéger la population des délinquants sonores ; Autre sujet évoqué, concernant à la fois la santé et l'environnement : l’interdiction des cigarettes électroniques à usage unique qui entrera en vigueur sur le territoire avant la fin de l’année.

  • Contrôles sanitaires et environnementaux : eaux, pesticides, déchets électroniques, pollution en mer, dératisation…

    Résultats de l’étude de la qualité de l'eau destinée à la consommation humaine à Tahiti et dans les îles en 2022 ; Révision de la liste des substances actives de pesticides en vue de retirer des molécules obsolètes ou dangereuses pour l’homme et l’environnement ; Opération spéciale collecte des déchets électroniques sans fils, fusées de détresse et pots de peinture au centre de recyclage de Motu Uta /casse-tête environnemental des batteries au lithium ; Comment réagir face à une pollution en mer ? Formation des agents de la commune de Hao et des militaires du RSMA par la cellule anti-pollution de la Base navale de Papeete ; Drones pour la lutte contre la Petite fourmi de feu, mais aussi opérations de dératisation.

  • Santé et développement durable : deux situations spécifiques à la Polynésie française à surveiller

    La santé est une préoccupation majeure du développement durable, comme le souligne le principe 1 de la déclaration de Rio sur l'Environnement et le Développement (1992). Deux situations spécifiques à la Polynésie française à surveiller :  Selon les derniers travaux de l’Inserm, les essais nucléaires réalisés par la France pourraient être responsables de 2,3 % des cas de cancer de la thyroïde ; Si les essais nucléaires peuvent jouer un rôle dans les pathologies du fenua, une mauvaise hygiène de vie n’est pas non plus sans conséquences… : 25% de la population polynésienne adulte souffre d’hypertension artérielle. 

  • Écologie, économie et santé sont liés

    Exploiter le potentiel économique d'une algue envahissante ; Mortalité mystérieuse descrevettes du fenua ; La filière bio locale affiche des pertes ; Une promesse d'avenir pour limiter la transmission des maladies transmises par les moustiques ; L’appel à la concurrence pour réaliser les travaux de la future déchetterie de Tahiti a été lancé; Inondation catastrophique à Teahupoo: nécessité de curer les rivières pour éviter les drames.

  • Tourisme et protection de l’environnement sont-ils compatibles ?

    Intégrer le développement durable au tourisme est devenu une nécessité. Ce dernier a pris une place beaucoup trop importante pour être ignoré : un impact économique non négligable, un impact environnemental (transport, aménagement du territoire…), un impact social (emplois) un impact sociétal (accessibilité des lieux, amélioration des conditions d’emploi et de travail, parité, diversité…) et un impact culturel …. L'aménagement de la zone d'accès aux J.O. de surf, à Teahupoo en 2024, nécessite des travaux qui peuvent menacer la biodiversité de ce spot encore indemne d'urbanisation. La population est partagée quant à leurs bienfaits supposés... Quant aux paquebots de croisière qui reviennent en force dans les eaux polynésiennes, quel est leur impact environnemental ?

  • Santé v/s environnement : lutte biologique contre les moustiques

    La lutte contre les moustiques potentiellement vecteurs de maladies (dengue, filariose, chikungunya, zika...) constitue l’un des principaux moyens d’éviter la transmission des virus porteurs de ces maladies. Mais l'utilisation d'insecticides pour les éradiquer est source de destruction de l'environnement. Il existe des techniques de lutte biologique contre les moustiques en remplacement de la pulvérisation de produits chimiques.

  • Le plan de transition alimentaire 2024-2034 en chantier

    Améliorer la santé de la population et assurer la sécurité et l’autonomie alimentaire, faire de l’alimentation un chantier prioritaire : c'est le programme du Plan de transition alimentaire (PtrA-PF) de la Polynésie française 2024 – 2034. Sa feuille de route liste six objectifs principaux visant à transformer notre système agro-alimentaire afin de procurer à tous une alimentation saine, abordable et durable, utilisant davantage de produits locaux.

  • Le riche potentiel économique de plantes locales

    Les plantes ont un riche potentiel qui n'est pas qu'agricole. De nouveaux débouchés pour les produits locaux  avec la fabrication d'hydrolats  ? 10 plantes polynésiennes pourraient trouver une ne place dans le milieu pharmaceutique international ; Une société polynésienne s'intéresse aux graines de sapindus, appelées koku'u en marquisien. Outre que des bijoux, on peut aussi en faire du savon.  

  • Santé et solidarité: appels à projet pour 2023

    La solidarité est intrinsèque au développement durable. Elle doit s’appliquer envers tous les autres, les populations défavorisées, les exclus, les plus faibles, les plus démunis, les plus pauvres…Plusieurs appels à projet et programmes sont lancés en ce début d'année, notamment pour favoriser l’insertion des jeunes des quartiers prioritaires : - L'appel à projets Ora Maita'i 2023 pour la promotion de la santé et la prévention, avec un programme très ouvert: à chacun son objectif, mais surtout à chacun son projet (demande de subventions en ligne) ; - Agir contre les inégalités sociales et territoriales, aider les associations à réaliser leurs projets et améliorer les conditions de vie des habitants des quartiers avec le premier appel à projets pour l’année 2023 du Contrat de ville ; - L’écomusée Te Fare Natura de Moorea et Allianz Polynésie s’associent pour favoriser l’insertion des jeunes des quartiers prioritaires

  • Biosécurité, protection animale, déchets, autonomie alimentaire… : des défis à relever

    La Direction de la biosécurité en Polynésie va bientôt recevoir trois chiens détecteurs pour inspecter les marchandises réglementées d’origine végétale et animale ; Suspicion de foyer de loque américaine sur la commune de Arue ; Un arrêté du gouvernement fixe le programme de lutte officielle contre le virus de la Tristeza des agrumes ; Fin de la campagne de stérilisation pour les chiens et chats à Moorea ;+ 50 % de déchets en cette période de fêtes de fin d'année ; Planter des 'uru pour commencer à préparer l’autonomie alimentaire.

  • Ouverture des archives sur les 193 essais nucléaires de la France en Polynésie

    Les essais nucléaires opérés aux Tuamotu pendant plus de 30 ans, jusqu'en 1998, n'en finissent pas d'être toujours un sujet d'actualité... L'ouverture des archives aux chercheurs permettra de diversifier les sources pédagogiques (environnement, santé) utilisées par les enseignants et les élèves des classes de CM1 jusqu’au lycée. Les premiers cartons de documents sont désormais disponibles à la consultation.

  • Répression et prévention face aux préjudices écologiques et sanitaires

    Côté répression: une affaire de pollution qui traîne depuis trois ans : L'affaire du dégazage du thonier chinois Xin Shi Ji 203, au large de Pirae en mai 2019, devant la cour d'appel de Papeete pour réexaminer la demande d'un “préjudice écologique” ; Côté prévention : un projet de ‘’loi du pays’’ sur la protection des personnes et de l’environnement contre les risques liés à l’exposition aux rayonnements ionisants.

  • Bio ou pesticides : la transition en cours

    À Kauehi, dans l'archipel des Tuamotu, l'exemple d'un potager sans engrais ni pesticides a fait l'étonnement des autorités en déplacement pour inaugurer l'abri anti-cyclonique de l'atoll. Son créateur produit jusqu’à 500 kilos de tomates chaque mois... ; Le glyphosate, herbicide puissant mais classé comme cancérigène probable par l'OMS, est désormais interdit à la vente pour les particuliers. Ainsi en a décidé leconseil des ministres du 19 octobre. Mais...les agriculteurs professionnels peuvent encore l'utiliser,  en limitant toutefois la concentration du produit à 36% au lieu de 72% par litre d’eau. 

  • Le végétal au service de l’homme, source de bien-être

     Le monde végétal est un allié face aux changements climatiques, sa protection favorise la biodiversité et maintien l'intégrité de l’environnement, c'est notre première source nourricière : une nouvelle antenne pour l'agriculture biologique à Raiatea ; une micro-forêt urbaine dans un lycée de Tahiti ; des produits locaux dans les cantines scolaires des communes.

  • Conséquences des essais nucléaires : transparence v/s méfiance

    La synthèse des résultats du réseau de surveillance de l'Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN) et le dernier bilan de la surveillance des anciens sites des essais nucléaires ont été présentés, le 12 octobre, aux autorités polynésiennes, parlementaires et associations de défense des victimes du nucléaire. Les mesures montrent que la situation est stable et fait l’objet d’une surveillance constante. On assure la transparence sur l'impact environnemental et la santé des habitants suite aux essais, d’un côté ; les associations ‘’anti-nucléaire’’ peinent quant à elles à accorder leur confiance. Une mission, à laquelle a participé le nouveau haut-commissaire, a été menée en fin de semaine à Rikitea et Tureia. La question de fond reste la même : croire ou ne pas croire la parole de l’État.

  • Énergie, santé, respect de l'environnement : des solutions novatrices

    Lancement du projet agrisolaire Mahana O’Hiupe à la Presqu’île ; Coral Gardeners projette de planter un million de coraux d’ici 2025 ; signature du label “Commune en Santé” pour 14 communes issues des 5 archipels ; Création d'une brigade verte à Rikitea ; Annonce du prochain Tech4islands Summit pour l’émergence de nouveaux modèles insulaires de développement, durables et résilients ; Le glamping : une activité d'hébergement basée sur l'échange.

  • L’association Te Ora Hau hausse le ton contre les "violences sonores"

     

    L’association de lutte contre les « nuisances » sonores a tenu son assemblée générale samedi 3 septembre : elle a renouvellé son bureau, à la faveur d’un grand nombre d’adhésions nouvelles, et modifié même son vocabulaire, parlant à présent de « violences » sonores. Elle entend “renforcer sa stratégie de protection des victimes et de dénonciation des faits délictueux”.(…) Te Ora Hau dénonce “l'égoïsme de nombreux concitoyens”, mais surtout pointe du doigt “l'indifférence de trop d'élus”.(…)

  • Trois piliers pour une alimentation saine : environnement, santé, économie

    Le secteur de l'alimentation concerne plusieurs thématiques complémentaires - environnement, santé, économie - qu'il faut concilier :  Accompagnement des agriculteurs pour explorer la piste d’une culture de légumes sans eau ; Journée "portes ouvertes" chez un agriculteur bio ; Biosécurité pour la protection de notre fenua contre l’introduction de virus, bactéries ou parasites ; Situation sanitaire catastrophique ("70% des Polynésiens en surpoids) du fait d'une surconsommation d'aliments nocifs.

  • Solidarité et humanité : des valeurs à développer

    Nombre de personnes se retrouvent exclues des circuits économiques classiques... Le développement durable constitue un mode de développement équilibré des activités humaines et doit donc inclure l'équité sociale. Proposer des solutions pour que les invendus puissent profiter à ceux qui en ont besoin y contribue. L'accueil des personnes à la rue aussi. La lutte contre la matraitance animale et l'amélioration du bien être de la gente canine doivent être de même des priorités. Trois actions en cours.

  • Éducation et sensibilisation : bien vivre ensemble, au sein d'une nature respectée

    Éducation et sensibilisation peuvent contribuer puissamment à inspirer les conditions d'un bien vivre ensemble, au sein d'une nature respectée : Programme de restauration du littoral ; Sensibilisation à la protection de l'océan ; Projets pédagogiques et éducatifs innovants au sein des Aires marines éducatives ;  Réflexions pour un  tourisme durable en Polynésie française ; Street Art éphémère à Ua Pou avec des oeuvres consacrées à l’univers marin ; Mareva Galanter à l'origine de la mini-série documentaire "Sentinelles de l’océan" ; Riche programme au Village des sciences ; Le label "Écoles en santé" se développe.

  • Santé: une démarche éco-responsable et inclusive

    Alors qu’en Polynésie française, une personne sur six est en « longue maladie », un label sera décerné aux 38 établissements scolaires inscrits cette année dans le dispositif "Santé à l’école".Une approche globale, inscrite dans un cadre de développement durable*, donnant aux élèves la possibilité d’acquérir des compétences en matière de santé tout en développant les compétences scolaires attendues à leur niveau de classe. Rangiroa a aussi inauguré) sa première édition Ea’ttitude.

  • Éducation, art, santé... développer les moyens du changement

    Les enjeux liés à l'environnement et au développement durable, en particulier le changement climatique et la préservation de la biodiversité, appellent une mobilisation de l'ensemble de notre société et de profondes évolutions des comportements individuels et collectifs : ateliers sur le tri des déchets, le rahui ou encore la vie des cétacés pour une classe de l'école primaire Farahei Nui à Faa'a ; quatre classes des écoles primaires de Raiatea participent au concours du projet régional océanien des territoires pour la gestion durables des écosystèmes ; l'environnement et le son au coeur d'une exposition artistique à Tahiti et Moorea ; promotion de la non-violence éducative avec l’association Parents autrement à Tahiti ; la Direction de la Santé lance un appel à projets dans le cadre du dispositif "Commune en santé".

  • Les effets bénéfiques des plantes

    Santé individuelle et santé collective vont de pair avec la bonne santé de l’environnement. La valorisation des plantes médicinales, aromatiques et cosmétiques est l’un des éléments permettant de renforcer les systèmes immunitaires humains et naturels. En vue de leur production et de leur commercialisation s’est tenu récemment à Tahiti un séminaire préparatoire à une réunion des tradipraticiens, prévu pour le 11 décembre. Un livre collaboratif sur les plantes utiles du Pacifique est aussi en préparation.

  • L'alimentation en question : privilégier l'autonomie et la qualité

    Notre assiette constitue le socle incontournable du changement que nous souhaitons pour notre santé et celle de la planète. La crise sanitaire actuelle démontre à l'envi que les pathologies (obésité, diabète, maladies cardio-vasculaires...) qui affectent une grande partie des Polynésiens ont notamment pour cause une mauvaise alimentation. D'où la nécessité d'établir un diagnostic du système alimentaire du fenua ; l'intérêt aussi de retourner vers une alimentation plus traditionnelle mettant en valeur ses produits ; ce qui implique, pour plus d'autonomie alimentaire, d'accompagner les porteurs de projets agricoles ; de faire connaître la préparation et l’utilisation d’engrais à base de déchets de poisson comme engrais naturel ;sans oublier de développer le sens du goût chez les jeunes...

     

  • Développement durable : des initiatives en cours

    Le développement durable s’invite au cœur d’activités qui ont une importance dans la vie quotidienne : protection de la biodiversité, traitement des déchets, alimentation, tourisme. Il y a encore beaucoup de choses à dynamiser mais des initiatives, pionnières ou plus avancées, indiquent le chemin à suivre.

  • Référentiels et recherche pour une meilleure identification de la qualité des aliments

    Il existe plusieurs qualités dans la production des œufs, selon les conditions d'élevage des poules. Les consommateurs pourront désormais y voir plus clair ; Quant aux produits "bio", ils doivent être certifiés pour être vendus comme tels. Pour les productions locales vendues localement, en Polynésie française comme dans le Pacifique, c'est la Norme océanienne d'agriculture biologique (NOAB) qui est appliquée. Un guide de lecture est en cours d'élaboration pour une meilleure appréhension des certificateurs et des producteurs ; Recherches en cours de la DRM concernant l'aquaculture.

  • Santé, environnement, économie, métiers d’art : l’alimentation au cœur de l’éducation

    Le dispositif « Ecole en santé » de Polynésie française a pour but de promouvoir la santé à l’école en agissant sur les déterminants de santé accessibles à l’école, et en développant les compétences psycho-sociales des élèves ; la notion de circuit court est enseignée dès la maternelle, où les tout petits apprennent à manger les légumes qu'ils cultivent ; un projet de loi à l’étude pour imposer une part minimale de produits locaux dans l’élaboration des menus de la restauration scolaire ; au Centre des métiers d’art, le regard d’artistes en formation sur l’environnement, la biodiversité, l’alimentation.

  • Vers une agriculture durable et une alimentation plus saine

    La souveraineté alimentaire était au programme du conseil des ministres du 14 juin. Le nouveau président de la CAPL table aussi sur l'autosuffisance alimentaire du Pays en améliorant la production tout en diminuant la dépendance aux produits chimiques. À Faa'a, la Brigade Verte et l’association Hotuarea Nuimènent une campagne de plantation d’arbres fruitiers dans un quartier prioritaire de la commune. Des ateliers « faaapu » ysont aussi proposés aux enfants sur le temps périscolaire. Une nourriture saine, qui évite les aliments diabétogènes est la base d'une bonne santé.

  • Alimentation durable : petite revue de presse

    Mettre en place un schéma d’alimentation durable, c’est mettre en avant une dimension économique, une dimension environnementale, une dimension sociale. Petite revue de presse de l’actualité récente : marché du terroir ; expérience de manger 100% local pendant un mois ; ressources de la noix de coco ; aquaponie ; projet de mise en terre de plantes endémiques à Moorea.

  • Deux plaies : la pollution sonore et la cruauté envers les animaux

    Deux associations s’impliquent dans un combat autant écologique que sociétal. Lutter contre la pollution sonore est un enjeu politique, écologique et sanitaire majeur. En plus de ses effets néfastes sur notre santé physique et psychologique, elle affecte de façon négative la biodiversité de notre environnement (avec Te Ora Hau). La cruauté envers les animaux dénote aussi une attitude irresponsable à l’égard d’êtres vivants sensibles et devrait pousser à réagir (avec l’ARPAP).

  • Fait nucléaire (suite): création de la délégation polynésienne Reko Tika

    Le Président de la République française, en réponse à l’appel du président du Pays, a proposé de présider une Table Ronde de haut niveau sur le fait nucléaire. Le Conseil des ministres de Polynésie française vient de créer la délégation polynésienne Reko Tika, au sein de laquelle sont invitées à participer les forces vives du Pays.

  • Nucléaire: une table ronde qui pose question

    Le ministre des Outre-mer, Sébastien Lecornu, est à Tahiti pour une mission d'une semaine. Parmi les temps forts de sa visite, le fait nucléaire… L’occasion de faire un rappel de l’actualité en ce domaine sensible qui concerne à la fois la santé et l’environnement dans un contexte de débat politique… En jeu, une table ronde à l’invitation d’Emmanuel Macron. Une invitation à laquelle certains acteurs ne répondront pas... 

  • Un environnement sain pour une alimentation saine

    Beaucoup de personnes déclarent vouloir consommer des aliments sains, c’est-à-dire bons pour leur santé, pour celle des paysans qui les produisent, respectueuses de celle des animaux d’élevage et écologiques. En parallèle, trop nombreux sont encore ceux qui ingurgitent d’énormes quantités de sucre, d’amidon et de matières grasses, produits à bon marché avec peu d’attention pour la santé, le bien-être animal ou l’environnement. Il y a des alternatives à cette “mal-bouffe”.

  • Agriculture et alimentation plus durables : la transition en cours

    Le processus de transition agricole et alimentaire en cours au fenuapoursuit son chemin, petit à petit. Émergence du bio, recours à une agriculture plus "reponsable"... petits et gros producteurs s'y mettent. Des formations sont organisées pour les animateurs de centres de vacances et de loisirs en vue d'y promouvoir  de bonnes pratiques alimentaires. Quant à la noix de coco, elle offre de nouveaux débouchés pour qui sait utiliser la nature fibreuse de sa bourre... 

  • Nucléaire : une « bombe » éditoriale

    Les essais nucléaires en Polynésie française pas si propres que ça ?! La publication d’une étude scientifique, suivie de la parution d’un ouvrage, « Toxique », qui rend public ses résultats, a fait l’effet d’une bombe. Ce sujet sensible impacte de nombreuses dimensions : écologiques, sanitaires, économiques, sociétales et politiques… (article réactualisé)

  • Essais nucléaires: un sujet encore sensible, près de 60 ans plus tard

    Le premier essai nucléaire aérien (pour plus d'une quarantaine jusqu’en 1974) a eu lieu sur l'atoll de Mururoa le 2 juillet 1966. Aujourd’hui encore, leurs conséquences sanitaires sont l’objet de débat. Les derniers résultats de l’étude effectuée par l’INSERM font polémique. Les installations du CEP rétrocédées au Pays et aux communes posent aussi des questions d’ordre environnemental : pollutions difficiles et coûteuses à résoudre (plomb, amiante).

  • Des équilibres à maintenir

    Des activités humaines irresponsablessont à l'origine de pollutions qui altèrent le cadre de vie et l'environnement. Juste retour des choses, des insectes "nuisibles" (fourmis, moustiques) peuvent aussi contribuer à rendre l'existence désagréable, voire représenter un danger sanitaire. Dans les deux cas, des actions concertées doivent être menées pour rétablir un équilibre vivable... pour tous.

  • Développement durable : sur le front de la sensibilisation

    Alimentation, solidarité, traitement des déchets, santé, lutte contre la pollution : associations, écoles et institutions… développent des actions diverses et variées, concrètes ou artistiques, pour inciter la population à adopter des comportements plus écologiques et plus solidaires. De beaux exemples de la transversalité nécessaire au développement durable.

  • Pollution électromagnétique: des habitants de Rangiroa inquiets

    La pollution n'est pas toujours visible. Les ondes électromagnétiques émises par les installations de télécommunication doivent être soumises à des normes rigoureuses. À rangiroa des habitants de Tiputa, inquiets pour leur santé, s'opposent à l'installation d'une antenne-relais.

  • Alimentation et développement durable: les exemples du mois

    L’alimentation durable constitue une porte d'entrée de plus en plus empruntée pour la mise en mouvement des territoires dans la transition écologique et solidaire. Elle impose une approche transversale des enjeux et en cela porte une visée transformatrice du modèle de développement des territoires : défi énergétique (lutte contre le dérèglement climatique), défi environnemental (préservation des ressources naturelles et de la biodiversité), mais également développement de l’emploi local non délocalisable, aménagement du territoire, santé, mieux vivre ensemble, lien entre les espaces ruraux et urbains...*En voici quelques exemples médiatisés par la presse locale en septembre.

  • Environnement et mieux vivre au menu du Conseil des ministres :

    Dans son dernier Conseil des ministres, le 23 septembre, le gouvernement a notamment abordé trois sujets liés explicitement à la préservation de l'environnement et au mieux vivre ensemble : réglementation de la pêche des holoturies aux Tuamotu, qualité environnementale pour la construction du futur lycée de Moorea, lancement d'ateliers pilotes d’éducation à la non violence et à la paix. 

  • Économie, société et environnement : des pistes pour un développement plus “durable”

    Sur la route d'un développement plus “durable”, il y a les plus et les moins. Le fenua, pour se diriger vers plus de résilience face au réchauffement climatique et pour mieux répondre aux défis sociétaux et environnementaux, doit se frayer un chemin entre écueils et propositions positives.

  • La nature du fenua, un monde à découvrir et... à respecter

    La nature et toutes ses ressources, indispensables au développement de la vie sur Terre, sont aujourd'hui confrontées à de multiples menaces. Des passionnés s’engagent pour les protéger : sommet, grotte (site culturel), plantes médicinales ou tinctoriales, espèces endémiques…

  • Environnement, santé et et sécurité: trois cas problématiques

    Pollution majeure, accident industriel ou gestion des déchets à l’échelle d’une île… Certaines situations écologiques et sécuritaires doivent être traitées avec sérieux. Trois cas viennent d'alimenter l’actualité en ce mois d’août. L’un, en conséquences des essais nucléaires, l’autre à propos de la sécurité des dépôts d’hydrocarbures et de gaz à Papeete, le troisième concernant le site à l’air libre de déchets de Rangiroa.

  • Agriculture, alimentation, plantes et santé : des pistes de résilience à suivre

    La crise liée à la Covid-19 a mis en évidence les fragilités d’un système économique très dépendant des importations. Le secteur stratégique qu’est l’agriculture doit être plus résilient : l’agro-écologie apporte des réponses qui doivent être valorisées ; les écosystèmes productifs originaux, comme le plateau des orangers à Tahiti, doivent être protégés ; les déchets de poisson transformés en intrants bio ; Consommer local et valoriser les circuits courts ; des plantes au service de la santé.

  • La résilience en action: des exemples au fenua

    La situation de crise liée à l’épidémie Covid19 a suscité des réponses de résilience*. Un mouvement de fond dans cette direction serait souhaitable. Certaines initiatives lancées pendant et après le confinement en sont l’expression. Un rapport à la terre plus soutenu, notamment, en est l’une des manifestations. La valorisation des ressources locales et patrimoniales en est une autre.

  • L’environnement dans tous ses états

    La crise sanitaire liée à la Covid19 a largement éclipsé les problématiques environnementales. Pour autant, l'activité économique reprenant doucement sur le fenua après une stricte période de confinement, la récession est susceptible d’inciter le gouvernement local, comme l’ensemble des Etats, à mener une relance de l’activité en utilisant les moyens classiques du soutien aux entreprises et à la consommation. Le tout au détriment de l’environnement, un thème jugé secondaire par rapport à la croissance ? La vigilance doit rester de mise… aussi pour la population, qui doit s'impliquer dans plus d'écocitoyenneté.

     

  • Le Cesec favorable à l'extension de la mention « bio » à plus de produits

    Le Conseil économique, social, environnemental et culturel (Cesec) s’est réuni le 30 avril pour examiner deux projets de "loi du Pays". L'un d'entre eux encadre l’utilisation du terme « biologique » qui pourra être étendu à de nombreux produits, comme le mono’i.

  • Covid-19 : une incitation à revoir le modèle de “développement” actuel

    La crise sanitaire, mais aussi sociale et économique, liée à la pandémie du Covid-19 doit nous inviter à réfléchir aux conséquences du mode de « développement” en déséquilibre fondamental de nos sociétés. Lesquelles, finalement, se révèlent très vulnérables. Sans oublier que le dérèglement climatique en cours démultiplie les risques de catastrophes sanitaires. A découvrir, trois articles de fond qui en décryptent les mécanismes et nous incitent à amorcer sérieusement la transition écologique et solidaire nécessaire.

  • Crise sanitaire : tirons les leçons de cette épreuve

    Aujourd'hui, la pandémie liée au coronavirus Covid-19 nous invite à observer, en temps réel, le déglinguage rapide et mondial des dimensions boursières, géopolitiques, pétrolières, économiques, commerciales et diplomatiques de notre monde humain. Et à s’engager pour un fonctionnement plus écologique et plus solidaire, en bref plus humain, de notre société.

  • Le suivi du nucléaire menacé: les associations indignées

    Depuis des décennies, les victimes des essais nucléaires se battent pour connaître la vérité sur leurs conséquences sanitaires et environnementales. Par souci d'économies, le gouvernement (France) a décidé de supprimer de nombreuses commissions et autres organismes jugés inutiles grâce à son projet de loi de simplification de l'action publique. Parmi elles, la commission de suivi des conséquences des essais nucléaires. En Polynésie, les associations sont indignées.

  • En bref: alimentation/santé (du 01 au 10/02/20)

    Petite revue de presse dédiée au suivi des événements liés aux secteurs de l'alimentation relatés par la presse locale dans la période du 1 au 10 février.

  • Le diabète, "catastrophe" sanitaire pour le Cesec

    Dans un rapport adopté à l'unanimité, les conseillers de la quatrième institution du Pays, le Conseil économique, social, environnemental et culturel (Cesec), ont interpellé les responsables politiques au sujet de la situation du diabète en Polynésie et recommandent diverses mesures pour faire face à cette "catastrophe" sanitaire. Cette problématique n'est pas que sanitaire, au sens strict. Elle concerne l'évolution de la société polynésienne dans son ensemble. Le modèle actuel est-il "durable" ?

  • Justice sociale et justice climatique: même combat ?

    Justices climatique, sociale et fiscale sont liées et il faut que ce soit pris en compte pour pouvoir prendre des mesures cohérentes. Pauvreté, inégalités, violences, suicides, obésité, addictions aux écrans, illetrisme... Autant de pathologies sociales qui empêchent la société polynésienne de se développer harmonieusement et de façon réellement "durable. Des dispositions de rééquilibrage sont engagées par des institutions et des associations.

  • Alimentation : une démarche favorisant du ma'a sain et local

    Il est agréable de pouvoir constater, de temps en temps, une évolution positive de la situation. C'est le cas, en ce mois de septembre, en ce qui concerne le domaine de l'alimentation. Des institutions (la DAG, la CAPL) et des entreprises privées s'engagent dans une démarche favorisant du ma'a sain et local.

  • PPN : un problème économique, de santé et d’environnement

    La récente polémique économique, entre le gouvernement et l’Autorité de la concurrence, concernant la réglementation des PPN recouvre une problématique de santé : surpoids, obésité, diabète… qui peut affecter gravement l’avenir de la population polynésienne. Sans compter l'empreinte carbone des produits importés, majoritaires...

  • Le 22 mars, Journée mondiale de l’eau. Quid en Polynésie ?

    La Journée mondiale de l'eau est une journée de sensibilisation à une gestion durable des ressources en eau. Instituée par l'Organisation des Nations Unies depuis 1992, elle est célébrée le 22 mars.Chaque année, elle met en lumière un aspect spécifique de l'eau douce. En 2017 et 2018, des événements de sensibilisation avaient été créés en Polynésie française… Rien ne semble avoir été programme cette année ! 

  • Corps et environnement : un même combat pour la santé

    Alerte sanitaire vis à vis de la Dengue de type 2. Un mois sans tabac pour les employés de l’hôpital. L’obésité prise à bras le corps par le ministère de la Santé. Les élèves du lycée hôtelier sensibilisés à de bons comportements alimentaires. Une église fait marcher ses fidèles pour la santé.

  • (janvier 2019) Petite revue de presse : santé et environnement

    Les impacts de l’environnement sur la santé doivent être évalués pour mieux identifier les risques sanitaires liés aux conditions météorologiques et aux pollutions des milieux de vie (air, eaux, sols). L'on parle aussi de couches-culottes, d'addictions diverses, des conséquences du nucléaire, de thon au mercure et de vaccins obligatoires...

  • (janvier 2019) Petite revue de presse : Alimentation, environnement

    On dit que la santé est dans l’assiette. Elle est aussi dans la terre qui a produit la nourriture. Du producteur au consommateur, en passant par le distributeur, petit point sur certains maillons positifs de la chaîne de l’alimentation. Et une alerte concernant le lait infantile !

  • Petite revue de presse : décembre 2018 en bref

    AvA-Infos s’efforce de donner un fil conducteur à ses revues de presse en identifiant la thématique des articles mentionnés. Nous vous proposons ici, en vrac, un tifaifai de sujets variés qui ont tous un lien avec le développement durable et la protection de l’environnement. L’occasion de comprendre que ces problématiques sont transversales et concernent la société dans sa globalité.

  • Alcool, tabac, obésité, diabète… un combat toujours d'actualité

    Donner les moyens de vivre une vie saine et promouvoir le bien-être de tous à tous les âges est essentiel pour le développement durable. La santé des populations et de son écosystème " terre " ne peuvent qu'aller de pair. Les problèmes sont récurrents en Polynésie française : alcool, tabac, obésité, diabète…, il y a encore des progrès à faire. Mais des initiatives positives sont engagées

  • Quatre exemples de producteurs agro-alimentaires du fenua éco-responsables

    Ils sont jeunes et veulent développer des filières de production agro-alimentaire éco-responsables. Quatre exemples dont a parlé la presse en décembre : Permaculture, agriculture bio, élevage de poules pour les œufs et élevage de crevettes en eau douce.

  • Un Noël plus solidaire ? Ne pas oublier les plus défavorisés

    Comme rappelé précédemment, la solidarité est intrinsèque au développement durable. Que faire pour que Noël ne se réduise pas à la folie consumériste ? Comment agir pour que cette fête soit avant tout un moment de partage et d’ouverture aux autres ? Des associations, chrétiennes ou non, se mobilisent pour que « festivités » rime avec « solidarité ».

  • Des clés pour une agriculture et une alimentation « durables »

    Beaucoup d’habitants de Tahiti sont déconnectés de la réalité agricole. La nourriture n’arrive pourtant pas toute seule dans leurs assiettes. Production locale, circuits courts, suivi de la qualité… autant de considérations qui doivent interpeller les consommateurs s’ils veulent participer à l’élaboration d’une économie vraiment « durable ». 

  • En Polynésie française, une personne sur cinq est diabétique

    "Dans le cadre du développement durable, la santé est un objectif, mais également un préalable indispensable. Il s’agit de procurer aux populations un bien-être physique et moral satisfaisant, ainsi que de leur garantir des conditions sanitaires qui leur permettent de contribuer aux activités productives et au développement de leur société"*. Le taux important d'obèses et de diabétiques en Polynésie française ne laisse pas d'être inquiétant ! Une réaction salutaire s'impose...
  • Un fléau quotidien, le bruit : l’association Te Ora Hau sur le front

    Notons l’organisation de l’assemblée générale, le 17 novembre à la mairie de Punaauia, de l’association Te Ora Hau (Vivre en Paixpour la lutte contre les nuisances sonores en Polynésie française. L’occasion d’écouter, d’informer et de rassembler ceux qui souffrent du bruit au quotidien et qui n'en peuvent plus.

  • Antennes-relais : pas vraiment de danger pour la santé ?

    Portables, Box WiFi, antennes relais... s'inscrivent chaque jour un peu plus dans notre environnement. Ces matériels High Tech émettent des ondes électromagnétiques de différentes puissances. Les mesures réalisées récemment par l’Agence nationale des fréquences, concernant particulièrement les antennes-relais indiquent des valeurs inférieures aux valeurs limites européennes. Sont-elles pour autant sans danger ?

  • La biodiversité terrestre et marine: un potentiel à découvrir et à préserver

    La biodiversité terrestre et marine ne dévoile qu’une infime partie d’un potentiel de ressources encore peu exploré à préserver : il représente pour les Outre-mer un moteur innovant de croissance économique dans lequel la recherche joue un rôle majeur. Du 19 au 23 novembre s’est tenu à Tahiti la dixième édition du Colloque international des plantes aromatiques et médicinales (CIPAM) qui a réuni une centaine d’experts, de chercheurs, d’industriels et de tradipraticiens de Polynésie française, d’outre-mer, d’Europe et du Pacifique. 

  • Près de 800 scolaires sensibilisés aux sucres cachés

    777 élèves issus de 16 établissements scolaires de Tahiti (5 écoles, 5 collèges, 6 lycées) impliqués dans la pédagogie Eco Ecole (éducation au développement durable) se sont retrouvés le jeudi 25 octobre au matin pour une projection gratuite du film Sugarland. Ce documentaire primé  était projeté grâce à un partenariat entre Fédéscol (association Manu Iti Fa’a Ora, ex Colibris-Tahiti), le cinéma Majestic et le producteur. 

  • Manger sain et local : une tendance qui monte, à Tahiti

    On relève un intérêt grandissant des consommateurs pour une nourriture saine, le plus possiblement issue d’une production locale.  Celle-ci ne remplacera pas complètement les aliments importés  (plus de 80%) mais il est heureux de voir se réduire l’écart trop important existant entre les lieux de production et les espaces de consommation tout en proposant une nourriture saine.

  • Des actions pour une société plus écologique et plus solidaire

    Appels à projets, actions collectives et participatives, carrefours coopératifs, programmes de réinsertion, actions d’échange et de solidarité… le mois de septembre a été riche de propositions qui contribuent à promouvoir un développement  soutenable, sur les plans de l’écologie et de la solidarité.

  • Bonne santé et environnement sain : deux conditions pour un développent vraiment "soutenable"

    Une meilleure santé est «à la fois une condition préalable, le résultat et un indicateur des trois volets du développement durable», précise une déclaration émise lors de la Conférence Rio+20, en 2012. En outre, un environnement sain est une condition préalable à une bonne santé. La situation en Polynésie française laisse à réfléchir… Des initiatives bénéfiques émergent cependant.

  • Monsanto condamné à payer 2,8 milliards Fcfp à une victime de son pesticide Roundup

    C’était ce qu’on appelle “le procès du glyphosate”. Un tribunal de San Francisco a condamné, vendredi 10 août 2018, la firme agrochimique internationale Monsanto à payer 289 millions de dollars (env. 2,8 millards Fcfp) de dommages pour ne pas avoir informé de la dangerosité de son herbicide Roundup à l’origine du cancer d’un jardinier américain, Dewayne Johnson. Cette victoire judiciaire contre le géant des produits phytosanitaires soulève un grand espoir chez les victimes des pesticides de synthèse.

  • Transports: vers de l’électrique pour les transports en commun ?

    La circulation dans le grand Papeete est un problème récurrent qui n’a toujours pas trouvé de solution satisfaisante. L’importation de bus électriques peut le résoudre en partie, mais cela ne suffira pas. Éco-mobilité, tram aérien, d’autres solutions doivent être examinées.

  • Santé et environnement : de vrais problèmes

    Tahiti/paradis ! C’est l’image de marque que l’on souhaite « vendre » à l’extérieur. Oui, mais… Des chiffres publiés en juin, notamment à l’occasion de deux événements dédiés à la protection de la santé, incitent à penser qu’il y a encore beaucoup à faire en matière de santé environnementale. Diabète, "la maladie de la malbouffe", addictions – notamment chez les jeunes – pourraient bien obérer l’avenir si l’on n’y prend garde.

  • Expérimentations nucléaires : le long parcours du suivi post-essais

    Entre 1960 et 1996, la France a réalisé plus de 200 essais nucléaires dont 193 en Polynésie française. La levée du secret défense, en 2013, a permis l’examen de près de 400 documents et donc celui des risques sanitaires et environnementaux auxquels étaient exposés les populations et les personnels des sites nucléaires. Un nouveau point de la situation a été réalisé en juin.

  • Science, nature, culture : dialogue médecine conventionnelle/médecine traditionnelle

    Comment envisager le maintien en bonne santé d’une population sans tenir compte de son environnement culturel et naturel ? Une prise de conscience s’est opérée au sein de personnels soignants du centre hospitalier (CHPF). Le travail entrepris depuis plusieurs mois avec des tradipraticiens en partenariat avec l’association Haururu a abouti, fin mai, à l’organisation d’un séminaire de “médecine intégrative“ au cœur de l’île de Tahiti, dans la vallée de Papenoo.

  • Le tabac tue les fumeurs et… la planète

    Chaque année, depuis 1988, est organisée le 31 mai la Journée mondiale sans tabac, sous l'égide de l'Organisation mondiale de la santé (OMS). Elle a pour but de générer une prise de conscience globale sur les dangers du tabac pour la santé des consommateurs, comme de leur entourage. Un véritable défi pour la population polynésienne qui compte… 41% de fumeurs. De plus, fumer n'est pas vraiment écologique... le tabac est "le cancer du poumon de la planète".

  • Santé et environnement sont liés : la situation en mai

    En santé publique, l’environnement est aujourd'hui considéré comme l'ensemble des facteurs pathogènes “externes” ayant un impact sur la santé. En avril-mai, la population a pu être exposée à plusieurs risques, relève la presse locale : leptospirose, ciguatera... sans compter une fragilisation de la santé mentale due à un environnement social déstabilisant. Les maladies non transmissibles pourraient être mieux évitées. Quid d'une transmission génétique des maladies consécutives aux expérimentations nucléaires ?

  • Un leitmotiv pour l’alimentation : “local et sain”

    Manger local et de saison, c’est reprendre contact avec celles et ceux qui nous nourrissent, retrouver la fraîcheur des aliments et les saveurs du terroir. C’est aussi encourager la production alimentaire près de chez soi et, par la même occasion, l’autonomie alimentaire et un partage plus juste des ressources nourricières avec le reste du monde. C’est aussi choisir d’acheter des fruits et légumes cultivés sur des exploitations de taille réduite qui pratiquent une agriculture écologique et favorisent les variétés locales.

  • Les produits agricoles vendus comme "bio" doivent être garantis ou certifiés

    Une conférence de presse a été organisée, le 25 avril à la Direction de l’agriculture, afin de rappeler au public, via les médias, la réglementation concernant l’affichage du “bio” en Polynésie française. Ce terme, qui est l’expression d’un label, y est en effet encadré de manière précise et aucun producteur ne peut l’employer sans avoir fait l’objet d’une garantie ou d’une certification.

  • Pour une alimentation saine… et un environnement sain

    Jambon-beurre, burger, frites… les habitudes alimentaires sont souvent à l’origine de graves désordres pour la santé, mais aussi pour l’environnement. Il y a heureusement de saines réactions, à suivre sans modération.

  • Manger local et plus sain

    Manger sain et respecter l’environnement sont deux démarches qui, combinées, contribueraient grandement à développer un mode de vie “durable”. La consommation de produits locaux est aussi une garantie pour la limitation des gaz à effet de serre – et donc du réchauffement climatique – eux-mêmes grandement induits par le transport des produits importés. Une campagne a été lancée en janvier pour renforcer cette dynamique.

  • Le nucléaire sur le devant de la scène

    La parution, concomitante avec la visite en Polynésie de la ministre des Outre-mer, d’un rapport de l’ancien médecin pédopsychiatre du CHPF, Christian Sueur, a suscité de nombreuses réactions. Il alarme en effet sur les conséquences des essais nucléaires sur les descendances des vétérans du CEP et des habitants des Tuamotu Gambier. Le sujet concerne à la fois la protection de la santé et de l'environnement. C'est aussi un sujet de société qui concerne la possibilité, ou non, d'un développement durable du fenua. Un bel exemple de transversalité des problématiques.

  • Revue de presse décembre 2017

    Cette revue de presse renvoie directement aux cinq principaux sites web polynésiens d’infos. On y retrouvera les articles qu’ils ont traités concernant le développement durable et la protection de l’environnement, cœur de cible d’AvA-Infos. Nous vous invitons à découvrir comment chacun de ces sites a relayé ou non ces sujets et comment il les a traités.

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